Mardi, la Région Bourgogne-Franche-Comté a signé une convention d’engagement pour une communication publique sans stéréotype de sexe avec le Haut conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes. « Cette signature constitue le point de départ d’une dynamique collective engageant la Région et ses représentant.e.s. Elle ouvre surtout la voie à des actions concrètes en application de cet acte fondateur, par exemple : veiller à ce que la communication visuelle de l’institution régionale (photos, vidéos…) ne reproduisent pas des stéréotypes de genre, ne pas réserver aux femmes les questions sur la vie personnelle et notamment la vie de famille, accorder au féminin les noms de métiers, grades et fonctions, veiller à une présence et à une prise de parole équilibrées des femmes et des hommes lors des manifestations publiques, avec les mêmes niveaux de responsabilité », détaille la collectivité dans son communiqué. La Région va s’appuyer sur Le Guide pratique pour une communication publique sans stéréotype de sexe, réalisé par le Haut conseil à l’égalité. Le document « décrypte les stéréotypes dans les images, à la tribune de colloques, ou dans l’usage de la langue. Il propose dix recommandations pour une communication égalitaire (dans un format poche, facile à appréhender, également téléchargeable sur son site) ». La Région Bourgogne-Franche-Comté suit ainsi la voie montrée par la Bretagne et affirme « son ambition d’une communication plus égalitaire, attentive non seulement à repérer les pratiques discriminantes mais surtout déterminée à les corriger ».
Au quatrième jour du procès, Humberto Zepeda, des doutes à la conviction de l’innocence de son fils
Il a douté à trois reprises de l'innocence de son fils, avant de trouver les arguments pour parer les accusations : Humberto Zepeda, le père de Nicolas, accusé d'avoir assassiné Narumi Kurosaki, se livre dans un entretien à l'AFP.
- Publié le 7.12.2023
- La Rédaction