L’agenda social, qui sera discuté tout au long de l’année, évoquera d’abord la mise en place d’une gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC), puis un accord sur le télé-travail. Des moyens supplémentaires seront aussi discutés pour être alloués à la commission santé, sécurité et condition de travail (CSSCT). La pénibilité et le temps de travail viendront ensuite.
« Les salariés ont lancé un message clair à la direction », rappelle pour sa part un délégué syndical Sud, de Bourogne : pas touche aux acquis sociaux. « Le temps dira si la direction remet le couvert ou non », poursuit-il, rappelant les bons résultats de l’entreprise, le PSE récent qui a réduit les effectifs et les efforts consentis en 2020 par les salariés pour traverser la crise sanitaire.
“La direction de GE EPF a conclu un accord avec la CGT pour lever les blocages des deux sites. Les négociations salariales annuelles devraient reprendre prochainement », indique la direction de General Electric dans un communiqué.