La région Bourgogne-Franche-Comté « s’est engagée » à soutenir la création de cette entité. Si un apport personnel des salariés est envisagé, la Région doit débloquer une subvention dans le cadre du fonds de relocalisation et de transition vers une économie décarbonnée. Elle n’écarte pas non plus une entrée au capital de la société pour « sécuriser le démarrage ».
Marie-Guite Dufay sollicite Bruno Le Maire afin qu’il appuie ce projet, dans le cadre du fonds Maugis, afin d’accorder un nouvel appui financier à ce projet ; ce comité se réunit ce jeudi 28 janvier.
« L’activité visée est la maintenance et la réhabilitation d’alternateurs de grande puissance pour l’hydroélectricité et la fourniture de services associés », écrit la présidente dans son courrier. L’enjeu : maintenir des compétences sur le territoire et garantir une quinzaine d’emplois au démarrage, puis une quarantaine ensuite. C’est un dossier « stratégique » et « hautement symbolique » écrit-elle et souligne « l’intérêt de ce projet industriel pour le Nord Franche-Comté »