La Nièvre a par contre connu une hausse de ses données épidémiologiques, liées à la présence du variant britannique. C’est là qu’il est le plus actif (30 %), même si à l’échelle nationale, c’est plus important (36 %).
L’agence régionale de santé observe quand même que si la situation diminue, elle reste plus élevée qu’au moment du pic épidémique, lors de la première vague. 1 505 personnes sont hospitalisées pour une forme grave de la covid-19, dont 156 en réanimation. Les patients en réanimation ont augmenté, contrairement à ceux accueillis en unité de médecine conventionnelle. Dans le Territoire de Belfort, on comptabilise 100 patients, dont 15 en réanimation.
Plus de 138 000 personnes ont reçu une première injection de vaccin et plus de 55 000 ont bénéficié́ de la seconde injection, au 17 février. « À partir du 25 février, plus de 1 250 médecins de Bourgogne-Franche-Comté, qui ont opéré́ des commandes auprès des officines, pourront administrer le vaccin AstraZeneca à leurs patients de 50 à 64 ans présentant des comorbidités », indique l’ARS.
L’ARS rappelle qu’à compter de ce lundi 22 février, la durée de l’isolement de tous les patients dont le test sera positif passera de 7 à 10 jours.