« Tout le monde politique local, départemental et régional a exprimé sa consternation dans les médias suite à la nouvelle annonce de suppression de 240 emplois chez GE. Alors que le groupe américain s’était engagé à créer 1000 emplois et à faire de Belfort un site de référence mondial, au bout de 5 ans le bilan est catastrophique », déplore le collectif En commun pour Belfort, qui dispose de 4 conseillers municipaux d’opposition ) Belfort. Le collectif réagit au nouveau projet de suppressions de postes de General Electric, à Steam Power, comme nous le dévoilions ce jeudi. « C’est plus de 1200 emplois qui auront été supprimés à Belfort. Chacun en est conscient : c’est le présent et l’avenir industriel, économique, social et environnemental de nos collectivités locales qui se jouent ici », écrit-il. « Nous refusons de regarder passer le train de la désindustrialisation et de la pauvreté renforcée qui l’accompagne, mais nous refusons aussi d’en rester à des indignations stériles », peut-on lire. « Nous proposons que les collectivités locales prennent leurs responsabilités en portant plainte contre l’État, dans l’objectif de faire respecter l’accord signé entre lui et GE. L’Etat doit assumer ses responsabilités sur ce dossier pour mettre un terme à la destruction de GE Belfort/ France. »
Les urgences psychiatriques maintenues à l’hôpital Nord Franche-Comté
L’hôpital Nord Franche-Comté et l’association hospitalière de Bourgogne-Franche-Comté viennent de renouveler une convention pour assurer un service d’urgences psychiatrique dans l’établissement de santé de Trévenans. Un service assuré par l’association.
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- Thibault Quartier