(AFP)
“Cinq écoles ou établissements scolarisant 1.500 élèves ont été fermés à cause de la présence de punaises” de lit, à Marseille, au Pontet (Vaucluse), à Louhans (Saône-et-Loire), à Villefranche-sur-Saône (Rhône) et à Saint-Dié (Vosges), a indiqué le ministère dans une communication transmise à l’AFP. Parmi ceux-ci, l’école de Villefranche-sur-Saône a rouvert jeudi 5 octobre, a-t-il précisé. Par ailleurs “quelques situations liées aux punaises de lit sans avoir entraîné de fermeture complète de structure ont été signalées”, a ajouté le ministère. C’est le cas au lycée Elisa-Lemonnier à Paris, où la présence de punaises de lit a “entraîné un mouvement de professeurs qui ont fait valoir leur droit de retrait, irrecevable selon l’académie dans la mesure où les zones circonscrites n’empêchaient pas la tenue de la totalité des cours”, a indiqué le ministère.
Le lycée Germaine Tillion de Montbéliard (Doubs) est également concerné, tout comme l’internat Tremplin Nature à Guéret (Creuse), où des punaises de lit ont été détectées “dans l’internat qui accueille depuis la rentrée des élèves du collège Marouzeau à Guéret”. Des “solutions ont été trouvées en interne pour assurer l’hébergement des 32 élèves concernés”, a précisé le ministère. Des punaises de lit ont aussi été découvertes dans l’internat du lycée de La Ferté-Bernard (Sarthe), entraînant la “fermeture d’un dortoir”, avec 20 élèves “relogées dans un autre dortoir”. C’est aussi le cas dans l’internat du lycée de Lorient (Morbihan), où “quatre chambres d’internat” ont été fermées “trois jours en septembre”, et dans des internats à Strasbourg, où “huit chambres” ont été “traitées et fermées”, et à Haguenau (Bas-Rhin), où “une seule chambre” a été “traitée et « fermée».