Un policier réserviste de 61 ans s’est donné la mort pour une raison indéterminée ce mardi 4 janvier, dans les locaux du commissariat de Besançon, vraisemblablement en utilisant son arme de service, a-t-on appris auprès d’une source policière. Ce policier bisontin retraité, qui effectuait des vacations au commissariat, a été découvert sans vie dans les locaux de l’hôtel de police par des collègues en début d’après-midi.
« Il aurait mis fin à ses jours avec son arme de service », a indiqué à l’AFP le Directeur départemental de la sécurité publique du Doubs, Yves Cellier. « La communauté policière locale est sous le choc », a-t-il ajouté, précisant qu’une cellule de soutien psychologique avait été déclenchée « pour tous ceux qui le souhaitent ». Une enquête pour « recherche des causes de la mort » a été ouverte. Les investigations ont été confiées à l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) pour « déterminer les modalités et les raisons du passage à l’acte », selon M. Cellier.
L’homme de 61 ans, marié et père de deux filles, avait terminé sa carrière major de police et chef de brigade. Il avait rejoint les 36 policiers réservistes du commissariat de Besançon rapidement après son départ en retraite en 2016. Aucun policier ou policier réserviste ne s’était donné la mort dans les locaux du commissariat de Besançon auparavant.
Fin de la période de chauffe : place au ramonage
Avec le redoux progressif de ces dernières semaines, la fin de la période de chauffe approche. C’est le moment d'entretenir sa cheminée, sa chaudière ou son poêle. Au-delà de l’obligation légale, le ramonage des conduits est un geste simple mais essentiel pour éviter les dysfonctionnements d’un appareil de chauffage — souvent à l’origine d’intoxications au monoxyde de carbone ou de feux de cheminée.
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- Le Trois