« Comment pouvaient-ils interpeller à mains nues un individu malade, avec des choses coupantes dans les cheveux ? », avait pour sa part interrogé l’avocat des prévenus, Me Jean-Philippe Morel. L’un des policiers « a juste agi pour figer une situation« , il a « posé le pied sur sa nuque, c’est un geste d’opposition pour maitriser cet homme qui gesticulait », avait-il défendu, plaidant la relaxe. C’est une « action clairement proportionnée » qui n’a occasionné « aucune blessure » aux hommes interpellés, avait-il ajouté.