Nuées de feu incontrôlées
Enfermé dans cet atmosphère
Pénible cycle répété
Enfoui sous la lourde poussière
Les pétales d’envie tombent et s’envolent
Subsistent ces heures, monstres massifs
Corps embourbés des lasses farandoles
Désenchanté, il est témoin captif
Soleil suinte ses rayons cuivrés sur la vitre
Mal-être lascif du corps comme une machine
La douleur moite gonfle, l’entêté arbitre
Persiste à son bureau, brisé sur sa routine
Mais le porteur explose
Court sans rien maîtriser
S’emplit de l’air grandiose
Tranchant comme l’acier
Larmes du ciel fécondes
Parfum, couleur, oubli
Sorbet de sensations
Renoue avec la vie