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Le nombre d’emplois directs enregistrés dans la filière hydrogène en 2022, contre 3 500 en 2021, soit 1 300 emplois de plus, représentant une hausse de 65,71 %. « Le développement de la filière est tel que des tensions dans le recrutement se font déjà sentir », commente France Hydrogène. L’objectif est d’avoir plus de 100 000 emplois dans la filière en 2030.
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Le nombre d’usines actuellement en activité. Ces usines fabriquent des équipements clés tels qu’identifiés par la Stratégie nationale hydrogène : des électrolyseurs, des piles à combustible, des stations de recharge, des réservoirs ou des véhicules. De nombreuses autres usines font partie intégrante de la chaine de valeur, par exemple les fournisseurs de composants. D’autres sont en cours de construction, notamment dans le nord Franche-Comté. Les usines de McPhy (lire ici) à Fontaine et de Gen-hy (lire ici) à Allenjoie vont prochainement sortir de terre.
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La capacité d’électrolyse installée en France, en MW. L’électrolyse permet de fabriquer de l’hydrogène à partir d’électricité. Et si l’électricité est verte (éolien, hydraulique, solaire), l’hydrogène est vert. Si l’électricité est nucléaire, l’hydrogène est décarbonée. Ces capacités correspondent aux capacités des stations de recharge avec production d’hydrogène sur place, comme c’est le cas à Auxerre (Yonne), et comme ce le sera dès le printemps à Danjoutin (lire notre article), et les sites dédié de production comme Lhyfe en Vendée. Les objectifs sont d’atteindre une capacité d’électrolyse installée de 6,5 GW en 2030, soit 6 500 MW ; il faut donc multiplier par 500 notre capacité d’électrolyse installée d’ici 2030. Un sacré défi.
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Le nombre de stations d’hydrogène ouvertes ; 225 sont en projet d’ici 2025 et 1 000 à l’horizon 2030 indique France hydrogène. « Optimiser le déploiement de l’infrastructure pour accélérer sur la mobilité hydrogène est une des grandes priorités d’action », observe la filière.
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Le nombre de véhicules hydrogène en circulation en 2022 : 33 bus, 240 vélos, 1 camion-poubelle, 550 voitures, 325 chariots élévateurs et 3 poids lourds. Pour les bus, plus de 700 unités sont commandés par des collectivités, comme c’est le cas dans le Territoire de Belfort où sept bus hydrogène circuleront dès le mois d’avril (lire ici). Pour les poids lourds, du retrofit doit accélérer le mouvement. Enfin, 37 installations stationnaires sont en fonction en 2022, dont des groupes électrogènes, comme à la préfecture du Territoire de Belfort.
