L’Institut Les Éparses gère plusieurs établissements et services sociaux et médico- sociaux (ESSMS) « au bénéfice des personnes handicapées adultes présentant une déficience intellectuelle. Depuis quelques années, l’établissement accueille également des personnes souffrant de déficiences psychiques ou d’autisme », indique le Département dans un communiqué de presse. L’établissement accueille environ 180 personnes. Cet établissement est divisé en trois secteurs : le secteur soins, financé par l’Assurance maladie sous tutelle de l’agence régionale de santé, composé d’une maison d’accueil spécialisée (MAS) de 85 places (sur deux établissements) ; d’un secteur médico-social, pour adultes financé conjointement par l’assurance maladie pour les soins et par le conseil départemental pour l’hébergement), composé d’un foyer d’accueil médicalisé́ (FAM) de 14 places ; et d’un secteur hébergement et accompagnement social (financé par le conseil départemental, dont un foyer de vie de 52 places, un service d’accueil et d’activité́ de jour (SAAJ) de 10 places, un service public d’ouverture à la vie sociale (SPOVS) de 20 personnes suivies et un accueil familial de 5 places. Vendredi, une nouvelle maison d’accueil spécialisée (MAS) a été inaugurée, à Chaux. Elle doit accueillir « huit patients atteints de troubles envahissants du développement (dont l’autisme) tout en préservant un cadre de vie convivial et en évitant une trop grande promiscuité́ », indique le communiqué de presse. Ce projet ne porte pas la création de nouvelles places. « Cette maison d’accueil spécialisée accueille des personnes n’ayant pas pu acquérir un minimum d’autonomie et dont l’état nécessite une surveillance et des soins constants », développe le conseil départemental. La construction et l’aménagement s’élève à 1,26 million d’euros, financé par l’institut Les Éparses.
Belfort : l’arrivée des nouveaux vélos électriques profite à l’insertion
Les vélos en libre-service du réseau Optymo de Belfort sont passés à l’électrique fin juillet. Ils rencontrent un vif succès, avec des locations multipliées par 2,5. Les anciens vélos trouvent une nouvelle vie auprès d’association, comme la Régie de Quartier.
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- Pierre-Yves Ratti