La direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi (Direccte) a informé la direction de l’entité turbines à gaz de General Electric (GE EPF), ce jeudi 19 décembre, qu’elle confirmait le plan de sauvegarde de l’emploi, déposé le vendredi 29 novembre. « La direction de GE EPF ouvrira, dès le 6 janvier 2020, une première phase de départs volontaires », annonce la direction dans un communiqué (retrouvez le calendrier du plan ici). Les prochains mois seront consacrés à des discussions sur la réduction des coûts ; 12 millions d’euros doivent être économisés. Des échanges sur le projet industriel sont aussi prévus, « afin de mieux positionner l’entreprise pour l’avenir », déclare la direction. Sollicitées, les organisations syndicales n’ont pas répondu. L’entreprise doit compter 1 275 CDI fin 2020 ; ils étaient 1 760 au 30 avril 2019.
Besançon : « Je ne suis pas un empoisonneur », clame une dernière fois Frédéric Péchier
Randall Schwerdorffer, avocat de Frédéric Péchier, a demandé son acquittement en affirmant qu’il n’y avait aucune preuve de sa culpabilité. Après 15 semaines d’audience, le jury s’est retiré poiur délibérer. Le verdict est attendu pour le vendredi 19 décembre.
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- Pierre-Yves Ratti
