Romain Liège est le président de la société d’accélération du transfert de technologie (Satt) Sayens depuis le 14 octobre. Il succède à Catherine Guillemin, qui était en poste depuis 2016. La France compte treize Satt. La Satt Sayens rayonne en Bourgogne-Franche-Comté, Lorraine et Sud Champagne. « La SATT Sayens fait émerger les résultats scientifiques prometteurs, les transforme en innovations qui répondent aux besoins des entreprises et du marché, sources de croissance et de création d’emplois », explique le communiqué de presse annonçant ce changement de gouvernance.
L’ambition de Sayens, portée par son nouveau président Romain Liège, vise donc à renforcer le rôle clé de la SATT auprès des écosystèmes locaux et nationaux en matière d’innovation, tout en tenant compte d’un contexte évolutif en matière de politiques publiques et de soutien à l’innovation et à la recherche. « Les SATT sont aujourd’hui, en matière de transfert de technologie, un modèle de référence en Europe et Outre-Atlantique », observe Romain Liège. Son objectif vise à « poursuivre la forte croissance [des] résultats », tout en « intensifiant » les retombées économiques de cette croissance pour les territoires.
- Les établissements et organismes de recherche actionnaires de la SATT Sayens 1 : l’Institut Agro Dijon, SUPMICROTECH-ENSMM, l’Université Marie et Louis Pasteur, l’Université de Lorraine, l’Université Bourgogne Europe, l’Université de Technologie Belfort-Montbéliard, l’Université de Technologie de Troyes, CNRS, Inserm . Les partenaires académiques de la SATT Sayens 1: INRAE, CHU de Dijon, Nancy et Besançon, CentraleSupélec et le Centre Georges-François Leclerc,