(AFP)
“L’huissier nous a dit que ce n’était pas finalisé, avec deux, trois modifications à faire. J’ai demandé s’il y avait de grosses modifications. On m’a répondu que non. (…) Pour moi, ce plan va être validé. On continue comme avant, avec les mêmes promesses qu’en 2018, on verra si elles sont tenues”, a expliqué devant la presse la représentante CFDT Véronique Guichenay.
Ce plan a été accepté par l’ensemble des créanciers, dont le groupe Galeries Lafayette, et des mandataires, selon la même source. “Je suis sceptique. Est-ce qu’on sera encore là dans dix ans? C’est l’inquiétude des salariés. On part à perte, avec des salariés épuisés”, a commenté Mme Guichenay. Les 26 magasins concernés emploient environ 1.000 salariés à Agen, Amiens, Angoulême, Bayonne, Beauvais, Belfort, Besançon, Caen, Cannes, Chalon-sur-Saône, Chambéry, Dax, La Roche-sur-Yon, La Rochelle, Libourne, Lorient, Montauban, Niort, Rouen, Saintes, Tarbes et Toulon, ainsi qu’à Tours, Pau, Rosny-sous-Bois et dans un “outlet” à Coquelles près de Calais.