Le cluster de la Vallée de l’Énergie organise ce jeudi 25 au soir une soirée spéciale pour ses vœux. Une vingtaine d’entreprises présenteront leur activité dans un format court et dynamique. Une manière de créer des échanges entre les membres de cette association tournée vers l’énergie et de présenter leur expertise. Tout d’horizon de ses missions et de ses projets avec le président Dominique Balduini, qui dirige également l’entreprise Isiduc à Faverois.
Orientis vero limes in longum protentus et rectum ab Euphratis fluminis ripis ad usque supercilia porrigitur Nili, laeva Saracenis conterminans gentibus, dextra pelagi fragoribus patens, quam plagam Nicator Seleucus occupatam auxit magnum in modum, cum post Alexandri Macedonis obitum successorio iure teneret regna Persidis, efficaciae inpetrabilis rex, ut indicat cognomentum.
Quelles sont les missions de La Vallée de l’Énergie ?
Dominique Balduini – Pour saisir la teneur des missions du cluster Vallée de l’Énergie, il est nécessaire de l’appréhender comme un trait d’union entre différents acteurs dont le dénominateur commun est la filière énergie. Notre rôle est pluriel : provoquer les synergies, défendre les intérêts des adhérents, avancer avec la transition énergétique, doper la compétitivité par l’innovation et ancrer les savoir-faire pour favoriser l’emploi dans nos régions.
Vous organisez une soirée de vœux ce jeudi 25 janvier. À cette occasion, vous préparez un événement spécial : une présentation dynamique d’entreprises adhérentes du cluster, pour mettre les entreprises en relation. Pourquoi faites-vous cette démarche ? Quelle image souhaitez-vous véhiculer de l’industrie ?
DB – La première édition de la soirée Connecteam entérine clairement les dernières orientations de la Vallée de l’Énergie. Il s’agit-là de rappeler notre rôle de fédérateur dans le paysage industriel local, régional et national, et d’ancrer toujours plus notre présence. Offrir aux acteurs industriels l’occasion de mettre sous le feu des projecteurs leurs expertises via des actions teintées d’originalité, c’est aussi le moyen de révéler leur valeur ajoutée. À travers cet événement, l’éclairage sur l’industrie se veut différent mais tout aussi impactant. L’industrie est portée par des hommes et des femmes. Il est donc essentiel de leur laisser la parole et de les inviter à révéler ce qui les anime dans ce secteur.
Quels sont les objectifs 2018 du cluster ? Quels événements envisagez-vous d’organiser ?
DB – En 2018, la Vallée de l’Énergie, toujours aux côtés des grands groupes tels que General Electric et EDF, renforcera son rôle auprès des petites et moyennes entreprises (PME), des petites et moyennes industries (PMI) et des entreprises de taille intermédiaire (ETI) au travers d’actions ciblées qui leur permettront toujours plus de visibilité. Il est aussi question de provoquer des rencontres régulières entre les membres afin de permettre des veilles techniques collectives que nous avons baptisées Work’In Sessions. Ces dernières tendent à favoriser l’émergence de nouveaux projets, éligibles à subventions. Nous serons particulièrement moteur lors de la prochaine édition des Rendez-vous des Acteurs de l’Énergie, le 14 juin. Cet événement, piloté par la chambre de commerce et d’industrie (CCI) Bourgogne Franche-Comté, activera les interactions entre les industriels de la filière. La Vallée de l’Énergie entend porter sur le devant de la scène les expertises de sa communauté de membres et partenaires au travers d’animations qui rythmeront cette 5e édition. Les entreprises nouvellement créées pourront toujours bénéficier de nos actions et de notre accompagnement, y compris sur le volet communication. Nous renforcerons également nos actions d’égalité professionnelle au sein des différents établissements membres de notre réseau afin d’amplifier la résonance de l’industrie énergétique, des savoir-faire qui la composent,et des hommes et des femmes qui la portent. Nous avons également le projet de greffer un volet social et économique à la Vallée de l’Énergie. Nous travaillons activement sur ce sujet, car le marché des turbines à gaz s’est affaissé.