« Au secours ! Mon frère me court après avec sa tatane en 49 pour me taper ! Rien ne va plus en confinement ! Ça n’avait pourtant pas si mal commencé… Déjà, on travaille à la maison, et ça, malgré tout ce qu’on peut dire, ça a quand même des avantages :
1) On peut écouter de la musique en travaillant, pour se motiver
2) Quand on est en visioconférence, on peut aller aux toilettes sans que les profs ne s’en rendent compte
3) Si on a la flemme de répondre à une question d’un prof, en visio, il suffit de dire : « krrchkrch…Monsieur, ça capte pas très bien !…krchkrrch «
C’est quand même des avantages non négligeables ! Il suffit de regarder les côtés positifs, et on vit mieux son confinement ! Mais le problème, c’est la cohabitation avec les frères et soeurs… Ça, c’est la partie compliquée du confinement… Figurez-vous que le soir, vers 23h, parfois mon frère se dit : « Tiens, si je jouais du trombone ! » Le problème, c’est que sa chambre est en dessous de la mienne, et on ne peut pas dire que l’isolation entre nos chambres soit la meilleure qui existe… Entre ça, et les test culinaires de ma soeur, on ne peut pas dire que la vie soit calme ! L’autre jour, elle a voulu faire des gnocchis de pomme de terre. Tout allait bien, jusqu’à ce que son plat ne sorte du four, et qu’elle nous annonce qu’elle n’avait pas fait des gnocchis, mais une surprise gratinée aux patates… Je vous laisse imaginer la tête du plat…Heureusement, c’était comestible, voire presque bon ! Enfin bref, il faut relativiser un peu, on n’a pas la pire des situations non plus ! Et puis comme ça, quand on sera vieux, on pourra dire à nos petits enfants : « Te plains pas, moi j’ai vécu en confinement un jour ! » »