Joël Mathurin, préfet du Doubs, « condamne avec la plus grande fermeté ces faits d’une extrême gravité », peut-on lire dans ce communiqué, qui rappelle que la police était bien présente sur le « théâtre des opérations ». « Le préfet tient à saluer le discernement et le sang-froid dont ont fait preuve les fonctionnaires de police dans cette situation où seuls des tirs d’armes à feu auraient permis d’arrêter l’engin de chantier, avec les conséquences dramatiques qu’on imagine », poursuit-il. Le préfet « a donné l’ordre de ne pas recourir à cette extrémité », poursuit le communiqué.
« Tous les moyens nécessaires seront mis en œuvre afin que les auteurs soient rapidement interpelés et présentés devant la justice », termine le communiqué.