Lynch The Elephant, qui ouvre la soirée, est un groupe de synthpop coloré. Groupe 100% local, les trois acolytes du groupe promettent d’en mettre « plein les oreilles dès l’ouverture du festival. » Le groupe suivant, Don Gabo, évolue dans un style hip-hop, marqué par 11 ans de vie passée entre l’Angleterre et la Colombie. Le duo mêle son de batterie, percussions et samples, en mélangeant les musiques latines à des sonorités plus denses. Nina Attal, qui fermera le festival, est une pionnière. Elle est une jeune guitariste de 29 ans, avec plus de 600 concerts à son actif. Voix soul, sonorité funk groovy, riff saturée, ballades blues-soul, « la singer-song writter s’impose alors au public comme un diamant brut, libre de façonner sa musique comme bon lui semble », selon le dépliant du festival.