Le mois de septembre a été marqué par d’importantes précipitations, provoquant un excédent pluviométrique de près de 60 % par rapport aux normales de la période 1991-2020 (119 mm). Le début du mois d’octobre a accentué ce phénomène, « battant un record de pluviométrie jamais vu depuis 140 ans ». « Ces conditions exceptionnelles ont rendu impossible le respect de certaines dispositions du Programme d’action national nitrates (PAN) ou du Programme d’action régional nitrates (PAR), notamment celles relatives aux périodes minimales d’interdiction d’épandage des fertilisants azotés », indique la préfecture.
Les agriculteurs doivent épandre « en conditions météorologiques favorables » et respecter les plafonds d’apports d’azote, « fixés à un maximum de 40 unités par hectare ».