« Depuis quelques jours l’épidémie de COVID 19 s’accentue et se propage », écrivent Samia Jaber, Jacqueline Guiot et Bastien Faudot, conseillers communautaires au Grand Belfort, dans une lettre adressée à Damien Meslot, président de la collectivité, et transmis à la presse ; une copie a été adressée au préfet. « Alors que la situation est plus grave qu’au mois de juillet nous découvrons avec surprise que vous proposez de réunir le conseil communautaire dans la salle Barillot », s’étonnent-ils. « Nous ne comprenons évidemment pas ce choix. Réunir 100 personnes dans un espace aussi confiné et pour une séance qui s’annonce longue compte tenu de l’ordre du jour très chargé, ne nous semble pas raisonnable », poursuivent les trois élus, de la liste Belfort en Grand. Ils demandent que le conseil communautaire soit réuni au Phare, « afin de protéger au maximum les participants et leurs familles et ne pas contribuer à la création d’un nouveau cluster et à une propagation supplémentaire du virus ».
Les 458 espèces d’araignées qui tissent la biodiversité régionale
Pour Halloween, l'agence régionale de la biodiversité Bourgogne-Franche-Comté déconstruit les a priori sur les araignées, ces créatures souvent redoutées dans les esprits. Derrière son image effrayante se cache un animal essentiel pour la nature. Inoffensives pour l’Homme, aucune espèce française n’est dangereuse. Très peu d’araignées (du fait de la petite taille de leurs crochets) sont capables de percer la peau humaine.
- Publié le
- Le Trois