Le centre de formation du FC Sochaux-Montbéliard (nos articles) vient de célébrer ses 50 ans. Il a été créé en 1974. « Il fut le tout premier centre agréé en France », rappelle le FC Sochaux-Montbéliard, dans un communiqué de presse. C’est encore une référence. Plus de 30 joueurs passés par ce centre sont devenus internationaux. En 2025, « l’Observatoire du football CIES, organisme de référence en matière de formation, a classé le FCSM dans le Top 20 des meilleurs centres de formation au monde », replace encore le club ; il est le meilleur centre de formation de National 1 et il est classé dans les dix meilleurs centres de formation français par la fédération française de football.
Il possède un partenaire officiel, en la qualité de Vetoquinol, société créée en 1933, à Lure (Haute-Saône). Le FCSM l’a annoncé ce jeudi 17 juillet. C’est un acteur international de poids dans le secteur de la santé animale. Il produit des médicaments vétérinaires et des produits non médicamenteux pour les animaux d’élevage et les animaux de compagnie.
Avec le FC Sochaux, Vetoquinol s’engage en faveur de la jeunesse
« Vetoquinol affirme son engagement en faveur de la jeunesse et de la transmission du savoir », justifie Matthieu Frechin, président-directeur général de Vetoquinol, cité dans le communiqué. D’ajouter : « Ce soutien s’inscrit pleinement dans notre démarche d’entreprise responsable, qui place l’humain et le territoire au cœur de nos priorités. » Avec cet engagement, Vetoquinol sera visible sur les maillots des jeunes joueurs, au centre de formation et dans les espaces du stade Bonal. « Ce partenariat témoigne de la vitalité de notre territoire et de la confiance que de grandes entreprises locales accordent à notre projet de formation et de développement », salue, pour sa part, Clément Calvez, président du FC Sochaux-Montbéliard.
Fin 2024, Vetoquinol employait 2 484 personnes dans le monde, dont 770 en France. Son chiffre d’affaires atteint 539 millions d’euros. Son résultat net part du groupe – la somme de tous les résultats nets d’un groupe, auxquels on enlève les dividendes dus aux actionnaires minoritaires – s’établit à 59 millions d’euros.